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  • : Le blog permet de suivre l'actualité culturelle de L'Etoile Rayonnante et de ses amis : photographie, chanson, magie, littérature, théâtre, environnement,...
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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 20:44

Certaines de mes photographies seront exposées samedi 16 novembre à l'occasion de l'exposition de photographies organisée par le CIQ du Merlan au centre d'animation du Merlan, 63 avenue du Merlan, 13014 Marseille.

Je vous présente une sélection des photographies qui seront exposées.

Selection-expo-Merlan-16-11-13-1200DPI_Page_3.jpg

Selection-expo-Merlan-16-11-13-1200DPI_Page_2.jpg

Je vous invite à découvrir mon nouveau site photo.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:22

J'ai créé un site internet ayant pour ambition de mettre en valeur mes photographies. Vous y trouverez des photographies de Marseille, de paysages, de nature où je puise une grande partie de mon inspiration. D'autres rubriques verront prochainement le jour comme les acteurs du monde culturel.

Je vous laisse découvrir le site.

Au plaisir,

Anne-Claude THEVAND

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 13:11

Tout comme l'année dernière, je suis en partenariat avec un imprimeur, Copie Service pour la création du calendrier 2014. J'ai fourni des photographies de Marseille prises par mes bons soins.

Vous pouvez vous procurer quelques exemplaires ou en commander en grande quantité dans sa boutique (63 avenue du Merlan, ND des Grâces, 13014 Marseille).

De mon côté, je distribuerai quelques calendriers lors des différentes manifestations auxquelles je participe.

Pour vous donner un aperçu, je présente ici deux photos présentes sur le calendrier.

Barquette-marseillaise.jpg

Le-Vieux-Port-et-le-Fort-Saint-Nicolas.jpg

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 12:56


Le 22ème Carflyer 2013ré des Écrivains aura lieu le samedi 16 novembre 2013 de 14h à 19h au Centre Bourse de Marseille.

Cette manifestation est organisée par le Comité du Vieux Marseille.

Pour la troisième année consécutive,  je serai présente, toujours avec plaisir, pour photographier les 222 écrivains attendus. 

De plus, j'ai déjà passé commande auprès de certains écrivains. Faites comme moi, lisez local!

Pour en savoir plus : site du Comité du Vieux Marseille.

 

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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 13:06

Anne-Claude THEVAND et Emmanuel ont rencontré Serge Mandas dans son atelier où il donne des cours de peinture.

Tout en peignant, Serge a répondu aux différentes questions posées.

E : Depuis combien de temps peignez-vous?

SM : Je peins depuis que j'ai six ans et j'expose depuis mes huit ans.

E : Quels peintres vous ont inspiré?

SM : Tout d'abord mon père et mon grand-père qui peignaient tous deux en amateurs, puis Michelangelo, Dali, Picasso.

E : Quel est votre style de peinture?

SM : A mes yeux, ma peinture est réaliste, hypperéaliste, contemporaine. J'ai inventé la technique de la cendre qui m'a permis d'être reconnu.

E : Vous nous recevez aujourd'hui dans votre atelier, combien avez-vous d'élèves?

SM : J'ai une dizaine d'élèves, adultes et adolescents qui viennent prendre des cours le samedi.

E : Où exposez-vous vos tableaux, comment vous faites-vous connaître et arrivez-vous à vendre?

SM : Aujourd'hui, j'expose moins qu'il y a quelques années. Ma prochaine exposition temporaire intitulée "Conventionnelles et Décalées" aura lieu dans la galerie Artmonti située sur l'Ile Saint Louis à Paris du 3 au 16 juillet. Le vernissage aura lieu le 4 juillet prochain.

Pour cette exposition, je me suis inspiré du Marquis de Sade et de poèmes d'Arthur Rimbaud. Il s'agit donc d'une mise en peinture de textes.

Ces mêmes tableaux seront ensuite toujours exposés à la galerie Artmonti dans le cadre d'une exposition permanente avec d'autres artistes jusqu'en avril 2014.

Je me fais connaître grâce aux différentes expositions auxquelles j'ai participé. On peut citer notamment celle du Carroussel du Louvre en 2009 où j'ai été repéré grâce à la technique de la cendre que j'ai inventée, cela m'a permis de figurer dans le catalogue des grands maîtres de demain. On peut citer également  l'Aigle de Nice où j'ai reçu un prix en 2009, une exposition à New-York en 2010, une exposition permanente à Marseille de 2009 à 2010.

Toutes mes références sont sur mon site où vous pouvez voir mes tableaux et pourquoi pas m'en acheter.

Je vends mes tableaux en fournissant un certificat d'authenticité à l'acheteur. Certaines années, je peux vendre jusqu'à dix tableaux, puis d'autres années je ne vends rien. Je précise que je suis enregistré à la Maison des Artistes, que je suis référencé avec une cotation agréée, ce qui explique le prix de mes tableaux. Certains peuvent se vendre jusqu'à 10 000€.

E : Quels métiers avez-vous exercé?

SM : J'ai été tour à tour mécanicien-carrossier-peintre après avoir passé un bac pro, restaurateur après avoir passé un CAP de cuisine, je suis diplômé en architecture et aujourd'hui, j'ai deux métiers officiels : contrôleur technique et artiste peintre.

Mes différents métiers sont dominés par l'art qui est le dénominateur commun dans tout ce que j'entreprends.

ACT : Serge, as-tu un message à faire passer?

SM : J'ai envie de dire aux jeunes et moins  jeunes de faire ce qui leur plaît, de vivre leurs rêves et non pas ceux de leurs parents ni de la société.

J'invite tout le monde à voir ma prochaine exposition qui a lieu dès la semaine prochaine à Paris dans la galerie Artmonti.

Je reste ouvert à toutes propositions pour de nouvelles expositions.

Pour tous renseignements, je vous laisse consulter mon site.

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 17:24

Stephane-Thiebaut.jpg

Stéphane Thiébaut est un homme comme on aimerait en rencontrer plus souvent : généreux, passionné par son métier de chef d'établissement où la réussite de tous les élèves compte, passionné par la photographie depuis sa plus tendre enfance, maniant l'humour avec intelligence. Un homme délicieux et profondément humain.

Anne-Claude Thevand et Emmanuel (en stage de découverte du monde de l'entreprise) ont rencontré Stéphane Thiébaut dans l'établissement qu'il dirige et lui ont posé quelques questions sur son parcours, ses passions.

E : Depuis combien de temps êtes-vous chef d'établissement?

ST : Je suis chef d'établissement depuis la rentrée 1993. J'ai commencé dans un collège rural à Decize dans la Nièvre, puis dans un collège à Brives-la-Gaillarde. Suite à la délocalisation de ce collège, j'ai obtenu ma mutation pour l'établissement Tour Sainte à Marseille qui regroupe école, collège et lycée. Après huit années où j'ai dirigé avec passion Tour Sainte, je suis depuis la rentrée 2012, chef d'établissement au lycée Charles Péguy à Marseille qui a la particularité d'être un lycée privé, laïc, autonome, accueillant les élèves de la seconde jusqu'à bac+5.

E : Quelles études avez-vous effectuées?

ST : Je suis diplômé en Histoire de la Sorbonne, en Sciences Politiques de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris et en Sciences Religieuses de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes de la Sorbonne. J'ai étudié l'histoire contemporaine et religieuse.

ACT : Comment expliques-tu le bon classement au niveau national du lycée Tour Sainte, établissement réputé difficile?

ST : Tout d'abord je suis fier de ce classement qui est basé sur la performance établissement et non sur la performance élève.

Pour rappel, le journal Le Monde place Tour Sainte en tête de classement au niveau national. Ce classement n'est possible qu'en tenant compte de la valeur ajoutée de l'établissement. D'autres journaux comme l'Express ont d'autres méthodes de classement et placent Tour Sainte premier du département et septième au niveau national. Toutes les précisions du classement sont sur le site du lycée Tour Sainte.

Un lycée comme Tour Sainte que j'ai dirigé pendant huit ans est un lycée non sélectif qui accueille les élèves que les lycées dits sélectifs ne veulent pas, plus de 60% des élèves sont boursiers. Nous avons voulu donner leur chance à tous les élèves, nous avons lutté contre le déterminisme social qui voudrait que certains de part leur origine ne devraient  pas réussir. 

Le classement des médias tient compte de critères comme l'origine socio-culturelle des élèves, le taux de réussite effectif au bac contre celui attendu. Quand on attend 50% de réussite au bac et qu'au final on a un taux de réussite de 75%, je ne peux qu'en être fier. Ces résultats sont le fruit d'un long travail que poursuit aujourd'hui la nouvelle chef d'établissement.

Donner sa chance à tous comporte bien sur des risques mais je crois fermement qu'en mettant en place des projets avec une équipe éducative motivée permet d'obtenir des résultats. La mission de l'Education est la réussite de tous.

Aujourd'hui, au lycée Charles Péguy, je souhaite bien sûr tout mettre en oeuvre pour que tous les élèves réussissent. Je m'intéresse à des méthodes et choix pédagogiques innovants qui vont dans ce sens.

E : Depuis quand la photographie est-elle votre passion?

ST : Une cousine m'avait offert un appareil photo en plastique pour mes six ans, depuis j'ai toujours fait de la photographie et j'ai changé d'appareil. Mon père faisait également de la photographie et enfants, nous avions droit aux séances de projection des diapositives.

Une fois étudiant à Paris, j'habitais un petit studio qui était devenu un véritable studio photo où je développais moi-même mes photographies. J'ai photographié des stars, j'ai sympathisé avec des photographes professionnels, lors de mes voyages, je prenais beaucoup de photos. J'ai commencé à être repéré pour mes photos, j'ai pu vendre des tirages, ce qui m'a permis de payer mes études.

Quand la photo numérique est apparu, un choix s'est imposé. Je me suis donc équipé en appareil photo numérique, en logiciels et autre matériel.

Depuis quatre ans, je fais encore plus de photos qu'avant.  Je suis capable de passer des soirées à retoucher une photo. J'ai failli arrêter ma carrière de chef d'établissement pour me consacrer uniquement à la photo, mais j'aime mon métier, donc je conserve mes deux passions l'éducation et la photographie. C'est d'ailleurs moi qui prend les photos des élèves.

E : pourquoi votre site photo s'appelle Calicoba?

ST : Au début où j'ai créé mon site photo, je voulais un pseudo par rapport aux élèves, j'ai donc choisi Calicoba, une chanson du groupe Gold car à la sortie de la chanson, Calicoba était devenu mon surnom.

Sur mon site, on trouve des photos de Marseille, de mes voyages, des portraits.

A savoir aussi que le calicoba est un poisson.

E : Comment vous faites-vous connaître du public? Exposez-vous et vendez-vous vos  photos?

ST : Mon site photo est très bien référencé, ce qui fait qu'on le trouve aisément sur Internet.

De part mon métier de chef d'établissement, je n'ai pas le temps de démarcher, je prends les opportunités qui se présentent à moi. Un site anglais, qui a eu connaissance de mes photos, m'a acheté des photos de Paris pour une application sur smartphone.

Je remercie Nicole Delor, chef d'établissement et écrivain, qui m'a aidé et qui m'a permis de faire ma première exposition. On peut également voir mes photos dans les couloirs de son établissement, le lycée Perrimond. De plus, la couverture de son dernier roman "Déni de danger" est une de mes  photos.

ACT : Stéphane, tu as beaucoup d'humour, est-ce bien perçu dans ton métier?

ST : J'estime qu'on travaille mieux dans la bonne humeur. Le sourire et le rire n'empêchent pas de faire du bon travail, au contraire. Je sais être sérieux quand il le faut. Un chef d'établissement n'est pas qu'une Autorité sans sourire.

L'humour fait partie de ma vie.

ACT : Stéphane, pour  conclure, as-tu des conseils à donner à la jeunesse?

ST : Je souhaite que les jeunes aient un projet et qu'ils soient heureux dans leurs projets. Mon rôle en tant que chef d'établissement est d'accompagner les jeunes dans leurs projets et dans  leurs choix. Certains élèves ont pu s'en sortir grâce à leurs projets. Si nous n'avions rien fait, ils seraient toujours dans leurs cités à vivre de petits ou grands larcins, à sombrer dans la délinquance.

Je continue de croire en mon métier.

Nota : Anne-Claude Thevand et Emmanuel ont rencontré Nicole Delor pour une interview qui est en ligne sur ce blog.

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 11:59

Anne-Claude Thevand et Emmanuel (toujours en stage d'observation) ont rencontré Hassane Bitar, Maître de Conférence à Aix-Marseille Université (AMU) sur le site de la faculté de Saint Jérôme.

E : Quelle discipline enseignez-vous à l'Université?

HB : J'enseigne la chimie organique et la spectroscopie.

E : Qui sont vos étudiants?

HB : J'ai différents étudiants : des étudiants de 1ère année à qui j'enseigne l'histoire des sciences et des chiffres ; des étudiants de 4ème année à qui j'enseigne la spectroscopie et l'analyse chimique et des étudiants de 5ème année à qui j'enseigne le traitement des déchets nucléaires.

E : Depuis quand enseignez-vous à l'Université d'Aix-Marseille?

HB : Après avoir effectué mes études à Marseille et obtenu ma thèse en 1978, je suis parti en coopération au Maroc où j'ai enseigné jusqu'en 1994. Depuis j'enseigne sur le site de Saint Jérôme à Marseille.

E : Depuis quand êtes-vous chargé de la diffusion de la culture scientifique?

HB : En 2002, j'ai été chargé de mission par le Président Jacques Bourdon de la diffusion de la culture scientifique au sein de l'Université d'Aix-Marseille III. Depuis 2013 et la création d'Aix-Marseille Université, je ne suis plus chargé de mission mais je continue par vocation et passion à m'impliquer grandement dans la diffusion de la culture scientifique.

Afin de diffuser la culture scientifique auprès du plus grand nombre, j'ai créé le Souk des Sciences en 2003 et je participe activement aux différentes éditions de la Fête de la Science.

La prochaine édition de la Fête de la Science aura lieu du 9 au 13 octobre 2013 avec pour thème "De l'infiniment grand à l'infiniment petit".

E : Pourquoi avez-vous créé le Souk des Sciences?

affiche Souk des Sciences 2013HB : Devant le constat qu'il y a de moins en moins d'étudiants dans les filières scientifiques, je souhaite susciter des vocations en allant à la rencontre des jeunes, en leur faisant comprendre que la science est intéressante, ludique et qu'elle est à la base de la vie. Si une société néglige les scientifiques, la civilisation décline.

Au-delà des manifestations dites "inta muros" où les scolaires viennent sur les campus universitaires, où les enseignants-chercheurs vont à la rencontre des élèves dans les écoles, collèges ou lycées, où les musées, muséums et bibliothèques accueillent les jeunes, j'ai voulu des manifestations dites "extra muros" pour amener la science sur les lieux de vie : c'est le Souk des Sciences.

Le principe du Souk des Sciences est la présence de stands sur différents thèmes scientifiques tenus par des étudiants, des chercheurs, des associations de diffusion scientifique et autres passionnés. Le Souk se déroule soit dans des centres commerciaux ou galeries marchandes mais également en extérieur dans la rue à la rencontre du public.

En dix ans, il y a eu plus d'une quarantaine d'éditions, et devant le succès, le Souk des Sciences a été sélectionné par MP2013. A ce titre, quatre éditions ont eu lieu en avril et mai 2013. Le Souk des Sciences a reçu le Trophée Diderot qui est un trophée national dans le domaine de la culture scientifique.

Vous pouvez d'ores et déjà noté la date du prochain Souk des Sciences : le mercredi 25 septembre 2013 sur le cours Belsunce devant la bibliothèque de l'Alacazar à Marseille.

ACT : Hassane, que voudrais-tu dire aux jeunes et moins jeunes?

HB : Je rappellerai que la science est le socle de la civilisation. Si on néglige les sciences, on va vers le déclin de la civilisation. La phrase que j'aime à dire mais qui résume cette pensée et que bientôt on aura plus de marchands de tapis que de créateurs de tapis!

Il faut susciter et encourager la CRÉATIVITÉ.

Pour en savoir plus sur la diffusion de la culture scientifique et sur les prochaines manifestations, vous pouvez contacter Hassane Bitar par mail.

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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 08:17

logo CVMMireille Duband, secrétaire du Comité du Vieux Marseille, a répondu avec passion et gentillesse aux questions d'Anne-Claude Thevand et d'Emmanuel (en stage d'observation auprès de l'Etoile Rayonnante).

ACT : Quand a été créé le Comité du Vieux Marseille ?

MD : Le Comité du Vieux Marseille a été fondé en 1911 par Marius Dubois. Le Comité est une association loi 1901 et a été reconnu d'utilité publique en 1924.

ACT : Quel est le but du Comité du Vieux Marseille ?

MD : L'objectif initial était de créer un Musée du Vieux Marseille. Aujourd'hui, le but est la défense et l'illustration du patrimoine de Marseille et de son terroir. A travers le patrimoine, on entend l'architecture, l'archéologie, l'urbanisme, l'environnement, l'histoire, la littérature, les sciences, l'industrie, les transports, la musique, la peinture, les traditions, le cinéma,...

Par exemple, le Comité aide les savonniers marseillais qui veulent un label du savon de Marseille, le Comité honore la mémoire d'artistes marseillais, le Comité empêche la démolition de certains bâtiments, etc..

ACT : Quels ont été les présidents successifs du Comité du Vieux Marseille?

Les présidents successifs sont : Marius Dubois, Guy Mazet, Charles Curtil-Boyer, Francis Chamant, Adrien Blès, Albert Berthoz, René Tellenne.

Depuis 2000, Georges Aillaud préside avec passion le Comité.

E : Quel est le profil type des adhérents du Comité du Vieux Marseille?

MD : Les adhérents sont avant tout des passionnés de Marseille. Nous comptons des retraités qui disposent de temps, des historiens, des familles qui soutiennent nos activités. Le Comité compte plus de 800 adhérents.

ACT : Quelles sont les principales activités et manifestions organisées par le Comité du Vieux Marseille?

MD : Le Comité organise des activités diverses et variées tels que : conférences (à l'Alcazar et au siège du Comité), expositions, publications, cours de langue provençale, atelier du parler marseillais, atelier théâtre, visites culturelles, randonnées, voyages, etc..

Une bibliothèque avec des ouvrages sur Marseille est à la disposition des adhérents.

Différentes commissions permettent de travailler sur différents thèmes : nom des rues de Marseille, image (photographies, vidéo, cinéma), etc..

Les plus importantes manifestations sont le Carré des Ecrivains et le Trophée Protis.

Le Carré des Ecrivains réunit chaque année au Centre Bourse de Marseille près de 200 auteurs qui écrivent sur Marseille. Le Prix des Marseillais décerné par un jury est remis après l'inauguration.

Le prochain Carré des Ecrivains, le vingt-deuxième du nombre, aura lieu le samedi 16 novembre 2013.

Tous les deux ans, le Trophée Protis est attribué par un jury pour récompenser une entreprise ou une action mettant en lumière Marseille et son patrimoine. 

Le prochain Trophée Protis sera remis début 2014 dans les locaux du Comité.

ACT : Qu'apporte MP 2013 au Comité du Vieux Marseille?

Le Carré des Ecrivains a reçu le label MP2013 (Marseille Provence Capitale Européenne de la Culture).  Des expositions rendant hommage aux 100 ans de la traversée de la Méditerannée par Roland Garros précèderont le prochain Carré des Ecrivains.

ACT : Le Comité du Vieux Marseille met-il en place des partenariats avec d'autres organismes?

MD : Le Comité est en contact avec d'autres associations, récemment le Comité a invité les présidents de CIQ pour réfléchir ensemble aux problématiques de la sauvegarde du patrimoine.

Le Comité du Vieux Marseille a des partenaires financiers et des sponsors principalement pour le Carré des Ecrivains et le Prix des Marseillais.

Nous sommes à la recherche d'un sponsor pour le prochain trophée Protis.

ACT : Mireille, as-tu une phrase pour conclure cette entrevue?

MD : Le patrimoine concerne tout le monde, jeunes et moins jeunes ; il faut le défendre et le sauvegarder. Le patrimoine est notre mémoire et notre avenir.

Pour en savoir plus sur le Comité du Vieux Marseille : 21 boulevard Longchamp, 13001 Marseille, 04 91 62 11 15

http://www.comiteduvieuxmarseille.net/ .

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18 juin 2013 2 18 /06 /juin /2013 12:41

Article blog écrivains régionaux-4

Anne-Claude THEVAND a rencontré Nicole Delor dans son établissement, le lycée Perrimond à Marseille. Elle était accompagnée d'Emmanuel, en classe de 3ème qui effectue son stage de découverte de l'entreprise.

ACT : Depuis combien de temps diriges-tu le lycée Perrimond?

ND : Je suis chef d'établissement de ce lycée depuis 2000. Je suis rentrée dans l'éducation en 1991 après avoir passé un CAPET d'éco-gestion.

ACT : Dans quel domaine travaillais-tu avant?

ND : Je travaillais dans l'industrie comme concessionnaire de différentes marques de cycles et motos. J'ai également travaillé en libéral dans "l'audit marketing".

ACT : Pourquoi es-tu passé du monde de l'industrie à celui de l'éducation?

ND : A la naissance de mon second enfant j'ai souhaité plus de stabilité géographique dans mon travail afin de  gérer au mieux ma vie de famille.

E : Depuis combien de temps écrivez-vous?

ND : J'ai écrit des pièces de théâtre quand j'étais étudiante, puis je me suis remise à l'écriture en 2002. J'ai été publié la première fois en 2009 sous un pseudo puis à partir de 2010 en mon nom propre.

E : Quelles sont les lectures qui vous ont influencées ou inspirées ?

ND : Je citerai Alexandre Dumas, Chateaubriand, des livres historiques.

E : Comment vous faites-vous connaître du public?

ND : J'ai un site internet, un blog, je suis présente sur facebook, je participe à de nombreux salons, j'ai accès aux médias locaux (presse, radio, télé), je participe chaque année à un salon à Metz, je fais partie des Plumes Marseillaises qui regroupent plusieurs femmes écrivains. Mes livres se vendaient dans les pays francophones par l'intermédiaire de mon ancien éditeur. Le bouche à oreilles reste un très bon moyen de se faire connaître.

ACT : As-tu un prochain roman en préparation?

ND : Oui, ce sera la suite de mon précédent livre "Déni de danger" qui sortira d'ici la fin de l'année.

ACT : La vérité et le mensonge sont présents dans tes titres et tes livres, pourquoi?

ND : J'assimile la vérité et le mensonge à des silences...

ACT : Pourquoi es-tu passé à l'auto-édition?

ND : J'ai fait le choix de l'auto-édition afin de mieux rentabliser le fruit de mon travail.

ACT : Tu sais que j'aime beaucoup la finesse et la psychologie de tes personnages. D'où te vient cette facon d'écrire? As-tu pris des cours d'écriture?

ND : Je n'ai pas pris de cours d'écriture. J'ai beaucoup lu, ce qui m'a permis d'avoir une bonne culture littéraire.

ACT : Comment se présente le prochain salon "Culture et écriture"?

ND : Le cinquième salon "Culture et écriture" aura lieu le 30 novembre prochain au lycée Perrimond. Je tiens à ce salon dont je suis l'instigatrice car il permet aux jeunes de lire et d'écrire, ce qui est un atout dans leur recherche d'emploi.

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 14:03

J'ai créé mon entreprise "L'Etoile Rayonnante" en janvier 2011 avec le statut d'auto-entrepreneur. Avant la création, plusieurs personnes m'avaient déconseillé ce statut. Parmi les raisons invoquées : ce n'est qu'un moyen de faire baisser le travail au noir, ce n'est pas un véritable statut donc pas une vraie entreprise, on ne  peux pas déduire les charges, c'est un statut qui fait de la concurrence déloyale aux autres entreprises, certaines grosses entreprises demandent à leurs salariés de se déclarer auto-entrepreneurs afin de ne pas payer de charges.

Bref, personne ne m'a vraiment vanté les mérites de ce jeune statut. J'ai quand même créé mon auto-entreprise car ce statut correspondait à mes aspirations, à savoir une comptabilité simplifiée, des démarches simplifiées au niveau de la création, paiement des charges que si on a un chiffre d'affaires.

Sans ce statut, je n'aurai pas créé mon entreprise. Il est à améliorer,  oui, c'est une certitude, mais le gouvernement actuel en prend-il le chemin? J'en doute.

Plutôt que de montrer du doigt les auto-entrepreneurs qui n'ont pas les mêmes charges que les entreprises dites traditionnelles,  pourquoi ne pas baisser les charges des petites entreprises...

Pour terminer, j'ai créé mon auto-entreprise pour me créer mon emploi, même si aujourd'hui cela reste une activité secondaire car en parallèle je suis enseignante à domicile.

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