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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 07:48

Article blog écrivains régionaux-4

Au mois de juin 2013, j'interviewai Nicole Delor sur son parcours de chef d'établissement et d'écrivain. Vous pouvez relire l'article ici.

Comme il n'est pas aisé pour des écrivains en auto-édition de vendre des livres dans toutes les librairies de France et de Navarre, aujourd'hui, Nicole Delor a créé sa e-librairie sur son site internet. Vous pouvez donc dès à présent commander en un clic un de ses romans...ou bien tous.

Bon clic et bonne lecture.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 15:16

JC Romera CVM Carré 2012-29J'ai rencontré en ce mois d'avril 2014 Jean-Claude Romera, un auteur passionnant, charismatique, intéressant avec qui on a envie de continuer la conversation.

Jean-Claude Romera s'est prêté au jeu de l'interview et a accepté de répondre à mes questions.

Anne-Claude THEVAND : Quel métier exerçais-tu avant d'être à la retraite?

Jean-Claude ROMERA : J'étais Chef d'Agence dans le Génie Climatique et je gérais le journal de l'entreprise. J'aimais écrire des rapports, corriger les fautes de mes collègues. J'ai toujours été attiré  par l'écriture bien plus que les chiffres.

ACT : Depuis combien de temps écris-tu?

JCR : J'écris depuis de nombreuses années et je suis publié depuis 2007 pour mon livre "L'Ire des Délires".

ACT : Quand touves-tu le temps d'écrire et comment écris-tu?

JCR : En fonction de l'histoire de mon livre, j'observe autour de moi, je prends régulièrement des notes, puis après, je m'installe, l'après-midi, pour développer mes idées jusqu'à en faire un livre.

Je prends le temps de faire murir les idées, c'est le temps de la création, incompatible avec celui de gagner de l'argent.

Je prends du plaisir quand j'écris, je suis passionné, je m'amuse à choisir le bon mot. Pour moi, la forme, le style et la syntaxe sont importants, bien plus que l'histoire en elle-même. En effet, une même histoire peut être racontée de différentes façons, les livres seront alors différents. Une fois le livre écrit, je passe autant de temps à le corriger. J'accorde de l'importance aux bons mots, aux mots  justes, à la précision des mots.

Certains auteurs plus connus écrivent plus vite puis leurs correcteurs enrichissant leurs livres. Ce n'est pas ma façon de procéder. Il y a de l'émotion et de l'authenticité dans mes livres.

J'écris en fonction de mon ressenti, je n'écris pas en fonction des gens ni pour plaire, ce serait être complice du système et j'y suis contre.

ACT : On dit de toi que tu es un écrivain éclectique. Où puises-tu ton inspiration pour aborder des sujets aussi variés que l'humour, l'histoire, la psychologie et d'autres encore?

JCR : J'ai commencé à écrire de l'humour (L'Ire des Délires, Le Fol Humour de mes Folles Pensées) car cela me plaisait. J'ai fait un travail sérieux de réflexion pour écrire mes pensées, mais on m'a dit que l'humour n'était pas de la littérature. J'ai ensuite écrit sur l'histoire (Lavoirs, Onde(s) de Femmes), mais on m'a dit que ce n'était pas de la littérature. Je me suis mis ensuite à écrire des romans. Je ne veux pas me contenter d'un seul genre littéraire, d'où cet écletisme. J'aime surprende le lecteur.

ACT : A quelle occasion as-tu reçu les Palmes Académiques?

JCR : J'ai reçu les palmes académiques dans le cadre de mes activités professionnelles car je me suis occupé de formation. Cela correspond également à mes début d'écrivain. Je porte le ruban violet pour faire plaisir à la personne qui a demandé les palmes pour moi.

ACT : As-tu déjà fait des interventions auprès des jeunes?

JCR : Oui, j'ai fait des interventions auprès d'élèves pour leur parler littérature. Je leur ai donné confiance en l'avenir et je leur ai appris à penser par eux-mêmes, à s'interroger sur le choix des mots, le choix des accents. Par exemple "UN POLICIER TUE" et "UN POLICIER TUÉ" ne signifie pas la même chose. Je suis un garde-fou du bon usage de la langue française.

ACT : Tu vis à Marseille, d'où viennent tes lecteurs et comment te fais-tu connaître?

JCR : Je vis certes à Marseille mais je suis plus connu dans les Alpes-de-Haute-Provence (04) où les médias locaux se sont intéressés à moi. Il n'est pas facile de se faire connaître quand on a un accès très réduit aux médias. Ma maison d'édition n'est pas une grosse maison d'édition, je ne suis donc pas en tête de gondole. Il faut savoir que les gros éditeurs tiennent le marché, il faut donc se battre pour se faire connaître, chose que je fais principalement par l'intermédiaire des réseaux sociaux et de mon blog

ACT : L'humour est omni-présent sur ton blog, quelle place a l'humour dans tes oeuvres et dans ta vie? Cherches-tu à cacher quelque chose à travers cet humour?

JCR : L'humour est un bon moyen d'inviter les gens à  lire mes livres, c'est un moyen de décompresser. Dans mes oeuvres, j'ai abandonné l'humour pour passer à des choses plus sérieuses. Au début, je me cachais beaucoup derrière l'humour, sans doute par timidité. Aujourd'hui, je ne veux plus me cacher.

ACT : Ton troisième roman, "La mauvaise intention" avait initialement pour titre "La Cougar chassait le slip léopard". Pourquoi avoir changé le titre et la photo de couverture?

JCR : La photo initiale de couverture ne fonctionnait pas. J'en ai parlé à mon éditeur et nous avons changé et la photo et le titre car le livre ne parle pas que de cougar.

ACT : En effet, pour moi, ce livre est sérieux, plus sérieux qu'il n'y paraît, notamment car il est question tout au long du livre du syndrome d'Asperger, qui est une forme d'autisme de haut niveau. Comment fais-tu pour te documenter?

JCR : Certaines personnes de mon entourage sont concernées par le syndrome d'Asperger, je me suis tout naturellement renseigné et documenté pour en savoir plus et en parler dans mon livre. Dans mes romans, j'aborde des sujets de société car cela fait partie de la vie. Il est important de donner de la vie et de la consistance aux personnages. Le fait d'avoir un enfant différent permet d'expliquer certains comportements de l'héroïne qui n'est pas une simple cougar.

L-eperdue-couverture.jpgACT : Peux-tu nous parler de ton dernier livre "L'éperdue" sorti en ce mois d'avril?

JCR : C'est un livre sur l'attachement aux racines. L'héroïne, marseillaise d'origine tunisienne, marié à un français, va partir avec un tunisien sur un bateau de croisière à destination de la Tunisie. C'est l'éperdue. Comme dans tous mes romans, je rentre dans la psychologie des personnages et il y a un sujet de société en fil conducteur, en l'occurrence l'homosexualité d'un des frères de l'héroïne.

ACT : Combien d'auteurs éditent ta maison d'édition "Les Presses du Midi"?

JCR : Les Presses du Midi éditent près de 450 auteurs. Il faut préciser que c'est une maison d'édition qui n'a pas de distributeurs, du coup, je gère comme je peux la distribution de mes livres.

Il faut savoir que la plupart des grosses maisons d'édition s'intéressent à combien peut rapporter un auteur, et donc son livre. C'est la loi de l'argent qui règne. Le système veut qu'il faut être connu pour vendre des livres. Etre connu ne signifie pas forcément avoir du talent. Où est la littérature quand c'est l'argent qui règne?

Ma maison d'édition me fait confiance depuis le début. 

ACT : Vends-tu beaucoup de livres?

JCR : Je vends environ 300 exemplaires de mes livres, sauf le livre sur les lavoirs qui s'est vendu à près de 2000 exemplaires. Je ne vis pas de ma plume, comme beaucoup de mes collègues, je le déplore. Il faut savoir que les "grands" écrivains sont défrayés pour participer aux différents salons, moi, tout est de ma poche.

ACT : Peux-tu nous parler des soirées littéraires que tu organises depuis quelques mois maintenant?

JCR : Jusqu'à l'année dernière, je co-organisais les mardis littéraires au restaurant d'Alfred Mauro, sous le parrainage de Franz-Olivier Giesbert. J'ai arrêté car je trouvais qu'il y avait trop de politique et pas assez de littérature. J'ai donc décidé d'organiser ailleurs des soirées littéraires, toujours de façon bénévole, et en mettant l'accent sur des auteurs locaux. Je communique sur ces soirées par mail, n'ayant pas accès aux médias classiques, chose qui me désole.

Pour en savoir plus sur Jean-Claude Romera, n'hésitez pas à visiter son blog.

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 15:44

Au mois de juin dernier, j'interwievai, avec mon fils Emmanuel, Stéphane Thiébault, chef d'établissement du lycée Charles Péguy et grand passionné de photographies.

Depuis, Stéphane Thiébault a un nouveau site photo que je vous invite à visiter. Vous y trouverez entre autre des photographies de Marseille, de ses voyages, de ses rencontres avec des artisans. Parmi les particularités de son site, il y a un blog associé avec des conseils, des coups de coeur pour d'autres photographes, des recettes de cuisine (avec photographies à l'appui pour nous mettre l'eau à  la bouche).

Stéphane Thiébault possèdent de grandes qualités humaines. Il m'inspire artistiquement, c'est assez rare pour le souligner.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 20:34

Le mardi 4 mars dernier, le Comité du Vieux Marseille a organisé une conférence sur la poésie à Marseille. La conférence a été menée avec passion par Guy Feugier, président de l'Association Passeport pour la Poésie . Le printemps des poètes a donc été lancé avec quelques jours d'avance.

Nous avons assisté à l'interprétation de poèmes et chansons sur Marseille, écrits par des poètes marseillais ou non, dits par des amoureux de la poésie dont Guy Feugier lui-même, Michel Melchionne, Marie Vence, Lucien Séraphin Ferlita, Alain d'Aix, Elisabeth Meissrirel,...

Vous pouvez visualiser les photos ici.

Alcazar-9.jpg

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21 février 2014 5 21 /02 /février /2014 10:26

Lucien-Seraphin.jpgAnne-Claude THEVAND a interviewé Lucien Séraphin en compagnie d'Alexandre, en stage d'observation.

Lucien Séraphin est un auteur-compositeur-interprète marseillais exilé à Cassis.

Anne-Claude THEVAND : Peux-tu nous parler de ta poésie?

Lucien Séraphin FERLITA : Pour moi, il existe trois thèmes dans la poésie. La poésie (P) à proprement parler, la poésie pour vivre (PPV) et la poésie pour vivre heureux (PPVH). C'est une approche unique que j'ai élaborée après plus de 30 ans de pratique de la poésie.

La poésie capte la beauté tout comme la photographie ou la peinture.

La poésie pour vivre est une poésie intérieure et profonde.

La poésie pour vivre heureux est un poésie encore plus intime qui traduit la beauté et l'importance de l'humain. Elle est la solution philosophique.

Dans tous les cas, je travaille à partir de mes émotions que je note en toutes circonstances. Je m'interroge sur la raison d'une émotion en en faisant la thèse, puis je fais l'antithèse de cette émotion et enfin, j'en fais la synthèse. Mes notes me servent ensuite à écrire des poèmes, des chansons.

Je prends du recul par rapport à mes émotions, ce que ne fait pas tout le monde par fainéantise, désorganisation ou facilité.

La forme que je donne à mes textes est en lien avec le message du texte. La forme traduit mes émotions, elle est réfléchie.

ACT : qu'entends-tu par philosophie personnelle?

LSF : La philosophie personnelle se décline en quatre points : 

- Notre histoire personnelle : la philosophie personnelle est tout ce qui fait qui on est. Y contribuent nos parents à travers leur éducation, nos lectures philosophiques puis notre travail personnel pour faire émerger notre philosophie personnelle. 

- Analyses rationnelles et irrationnelles de la  pensée humaine : en philosophie, on peut faire une analyse irrationnelle qui se range du côté de la théorie ou on peut avoir un esprit rationnel et cartésien qui se range du côté de la pratique. Personnellement, je suis un praticien de la philosophie.

- Découverte de sa propre philosophie : dans ma philosophie personnelle, j'inclus la religion. Je suis catholique croyant et je pense que la religion (âme) et la philosophie (esprit) doivent faire un pas l'une vers l'autre. Pour moi, il n'y a pas de solutions ou de réponses uniquement par Dieu ni uniquement par la science. Je fais la synthèse des deux.

Au-delà de ma philosophie personnelle, il y a un art de vivre. En effet, pour moi, l'art ne doit pas nuire à la vie de famille (cela correspond à la poésie pour vivre heureux). Je veux pouvoir vivre de ma passion mais pas au détriment de ma famille.

- Projet sociétal : mon projet mêlant philosophie et poésie consiste à classer avec des préceptes essentiels.

* La poésie,

* La poésie pour vivre,

*La poésie pour vivre heureux,

*La prose,

*La  prose pour vivre,

*La prose pour vivre heureux,

*La poésie picturale ou sculpturale,

*La poésie picturale ou sculpturale pour vivre (exemple des peintres qui peignent sur commande afin de vivre),

*La poésie picturale ou sculturale pour vivre heureux (exemple Dali).

Je collectionne de nombreuses allégories picturales et sculpturales. Les allégories sont une force intérieure de l'art.

Je terminerai en disant que  la philosophie permet d'apprendre à penser par soi-même et permet de sortir du formatage.

ACT : Quelles sont tes sources d'inspiration pour écrire?

LSF :  Mes thèmes de prédilection sont Cassis, la Provence et tout ce qui suscite en moi une émotion. Je suis également inspiré par le folklore, en effet, quand je vois un spectacle folklorique, j'en retire de la couleur, de la musique, des émotions que je note.

ACT : Tu écris et tu composes, que fais-tu en premier?

LSF : La majeure partie du temps, quand j'écris un texte, je ressens sa musique et je travaille alors des accords sur ma guitare afin de créer une harmonie. Le reste du temps,  je regarde si un texte peut être en adéquation avec une musique. 

ACT : Peux-tu nous parler de Jacques Dau?

LSF : Jacques Dau est connu pour le duo qu'il forme avec Jean-Marc Catella, Dau et Catella. J'ai fait de la scène avec Jacques Dau sur Marseille et sa région. Nous proposions des chansons, des skectchs où l'humour était présent.

ACT : As-tu toujours été un artiste ou bien as-tu travaillé dans d'autres domaines?

LSF : J'ai travaillé pendant 40 ans dans la banque. Cela fait aujourd'hui cinq ans que je suis à la retraite. C'est un univers particulier. A mon dernier poste, j'étais responsable régional des tutelles à la Caisse d'Epargne PACA-Corse-La Réunion. J'ai pris soin de comprendre les personnes sous tutelle (majeurs handicapés), les personnes qui s'occupent des tutelles et les problématiques de la banque. L'humain est omniprésent. Mon principe était de rendre heureux tout le monde : les clients, le patron et ma famille.

Mon côté humain ne pas m'a empêché, bien au contraire, de dénoncer ce qui ne me plaisait  pas dans la banque.

ACT : Alexandre, qui en stage avec moi est le petit-fils de Françoise Anrigo-Martin, peux-tu nous parler d'elle?

LS : Mes liens avec Françoise Anrigo-Martin sont merveilleux. Françoise est une femme qui donne de la beauté aux autres. Elle est talentueuse, elle écrit, elle s'investit depuis longtemps dans la poésie, le tout avec beaucoup d'humour. Elle  lutte contre la société qui veut nous formater, nous écraser. Françoise fait partie de notre famille humaine.

Nous nous connaissons grâce à Guy Feugier, président de l'association "le Passeport pour la Poésie".

ACT : Quelle est ton actualité?

LSF : Je joue dans la célèbre partie de cartes de Marcel Pagnol au théâtre de Tatie avec Guy Feugier, Alain D'Aix et Edouard ; je participe régulièrement à 13 en scène (scène ouverte).

Je prépare deux albums, un sur la Provence et un classique.

Comme beaucoup de  mes amis artistes, je n'ai pas accès aux grands médias.

ACT : Quel est ton avis sur la culture aujourd'hui?

LSF : Je trouve qu'en France, il y a trop de culture américaine, et ce, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et les accords de Blum-Byrnes. Je n'aime pas cette hégémonie. En tant qu'auteur français, il est difficile de se faire une place.

Pour parler de la culture subventionnée telle qu'elle existe aujourd'hui, je trouve que c'est de la corruption électoraliste.


Pour en savoir sur Françoise Anrigo-Martin, vous pouvez consulter son blog sur les amis des poètes http://lesamisdespoetes.over-blog.com/.

couverture livre NeurosoisPour en savoir plus sur Lucien Séraphin, je vous invite à consulter son site internet http://www.lucienseraphin.fr/.

Un livre de Lucien Séraphin, La Culture des Neurosois, Traité de Philosophie Personnelle permet d'approfondir la vision de Lucien Séraphin sur la philosophie et la poésie. Pour avoir lu le livre, il est simple d'approche, tout est bien expliqué avec de nombreux poèmes pour illustrer son discours.

Un livre accessible sur la philosophie!

 


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3 février 2014 1 03 /02 /février /2014 14:57

Flyer Indra Surya Massage Parmi les prestations de l'Etoile Rayonnante, Agence de Communication et de Développement Culturel, on peut citer la réalisation de maquette, la création de site internet et la rédaction de contenu pour site.

J'ai le plaisir de vous annoncer qu'Indra Surya m'a fait confiance pour la réalisation de son site internet et de ses prospectus.

Indra Surya propose sur Marseille et ses environs des massages traditionnels thaïlandais Nuad Boran à domicile et en entreprise.

Les bienfait reconnus sont la détente, la relaxation, le bien-être intérieur et physique, la vitalité.

Je vous laisse consulter son site Indra Surya Massage et vous faire masser en prenant rendez-vous au 06 44 09 55 78.

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 09:26

Voeux 2014 Anne-Claude THEVAND Etoile Rayonnante

Que l'année 2014 soit placée sous le signe du rayonnement, du partage, de la réussite et de la santé pour tous.

Je souhaite que les artistes aient un public encore plus nombreux et fidèle.

Je souhaite que les écrivains aient toujours plus de lecteurs.

Je souhaite que les créateurs d'entreprises réussissent et trouvent toujours plus de clients.

Je vous souhaite à tous une excellente année 2014!

Anne-Claude

P.S. : la photographie des lys est visible sur mon site photo où vous pouvez regarder plus de photographies.

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 09:38

J'avais promis les photographies du Carré des Ecrivains 2013 pour l'Epiphanie. C'est chose faite.

Carre-des-Ecrivains--novembre-2013-35.jpg

Vous pouvez regarder les photographies ici.

Rendez-vous est déjà pris pour l'édition 2014 du Carré des Ecrivains où chaque année je tisse de nouveaux liens avec des écrivains et auteurs régionaux sympathiques et talentueux.

Le Carré des Ecrivains est une manifestation littéraire organisée  par le Comité du Vieux Marseille.

 

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 15:08

Le samedi 30 Novembre 2013, le lycée Perrimond 244 Chemin du Roucas Blanc 13007 Marseille) organise la 5ème édition du salon « Culture et Écriture». Il a été créé il y a cinq ans par Nicole Delor, chef d’établissement du lycée Perrimond. 

Grâce à un large éventail d’activités (salon littéraire, concours d'écriture, animations, expositions, conférences, certification Voltaire) le salon met à l’honneur la culture et l’écriture pour passionner toutes les générations.

Toutes les informations sur le site du lycée Perrimond.

N'hésitez pas à vous y rendre pour aller à la rencontre des auteurs présents.


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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 21:07

Le samedi 16 novembre dernier a eu lieu le 22ème Carré des Ecrivains organisé par le Comité du Vieux Marseille. 

Après avoir photographié les quelques 222 auteurs présents, je suis repartie, comme chaque année, chargée de livres. Difficile de faire un choix tellement l'offre est riche et grande. Je vous fait part des ouvrages dédicacés à qui je vais faire une place dans ma bibliothèque désormais.

- Marseille pour Les Nuls, de Pierre Echinard, Edmond Echinard, Médéric Gasquet-Cyrus,

- Echec à Marseille, de Jean-François Coubau,

- Danger de faiblesse, de Nicole Delor,

- Petits secrets impunis, de Nicole Delor,

- Marseille ma ville, portrait non autorisé, de Xavier Monnier,

- Marseille en dates et en cartes..., de Philippe Bardiau et Michel Kneubulher

- Ainsi parlait Frédo le Fada, de Henri-Frédéric Blanc,

- La mauvaise intention, de Jean-Claude Romera,

- Le secret d'Eugénie Impératrice, de Martin Fabre,

- La mort tragique de Domenika Linder, de Martin Fabre,

- L'énigme Walter Museau, de Martin Fabre,

- Marseille Plein Ciel, Prises de vue insolites en ballon, de Pierre Behar,

- L'ambre, cette "pierre" venue du Septentrion, de Jean-Paul Guichard d'Arenc. 

Au-delà des photographies que je prends, j'apprécie de pouvoir discuter, échanger avec les écrivains qui m'accordent leur  confiance. Année après année, des liens se créent, je suis fidèle à certains écrivains, j'en découvre de nouveaux.

J'ai de la lecture pour un petit moment...

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